C'est l'histoire de la femme scarabée, parti faire son marché et qui tombe nez à nez avec un petit lapin. Il lui dit qu'il va lui chanter de la mandoline dans sa petite cuisine. Rien à voir avec la tête de coq avec lequel le petit scarabée fricote…

D'habitude, elle dodeline sur les déserts et les collines de sa contrée. Avec cette connaissance, la femme scarabée s'amuse à jouer au « petit noyé » et ils se doraient la pilule sous le cognassier.
Ce n'était que deux petits feux follets, difficile à atteindre, impossible à éteindre ou seulement pour boire la tasse et elle, elle dit « je me casse ». La femme scarabée a senti le petit lapin trop emballé et elle l'a fait rentrer dans son terrier pour trier le bon grain sous le noyer.
Tel le dernier chant du rossignol, le petit lapin n'a pas aimé et au volant de son camion blanc a prétexté de venir muscler le petit scarabée dans sa maisonnée ; Mais la femme scarabée n'aime pas les drôles de farandoles et face à cette « lapinerie » des temps modernes décide de lâcher les chiens pour manger les « roubignols » du lapin rossignol, dans sa bagnole sur un fond de casseroles.